Résider
au cœur d’ananké comme en un labyrinthe.
L’il y
a a dévoré la place. Les bêtes sont lâchées.
La
pulsation intime a perdu la mesure.
A pas
feutrés, d’une main moite,
J’effleure
les pétales de la mémoire
au
souffle du silence.
Emiettement
du temps.
A la
recherche de la durée salvatrice.
Habitacle de chair et de silence,
Habitacle de chair et de silence,
En
pluies fertiles en vérités.
La mort
resserre son étreinte d’absence à soi,
Dressant
une statue de sel
d’où
les fulgurances amorties
s’échappent.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire